La vie après la compétition : vu par l’équipe de France féminine de handball
5 septembre 2024
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin
Reliant les eaux froides du fleuve Saint-Laurent aux côtes historiques de la Bretagne, la Transat Québec-Saint-Malo réunit les meilleurs navigateurs du monde pour un défi unique en haute mer. Retraçons l’histoire fascinante de cette course à laquelle va se frotter notre skippeuse Amélie Grassi.
L’idée de la Transat Québec-Saint-Malo est née pour célébrer le 450e anniversaire de la première traversée de l’Atlantique par Jacques Cartier. Dès 1984, la course a séduit à l’international grâce à son parcours exigeant. Le succès immédiat de l’événement a garanti sa pérennité. Aujourd’hui encore, cette course tend des liens solides entre le Nouveau Monde et le Vieux Continent.
Ce qui distingue la Transat Québec-Saint-Malo des autres courses transatlantiques, c’est son départ depuis le cœur de la ville de Québec. Atteindre le point d’origine de la compétition relève déjà d’une expédition car il faut remonter le majestueux fleuve Saint-Laurent. Très vite, le parcours se corse : courants, marées, icebergs… Les coureurs océaniques doivent naviguer à travers des eaux complexes avant de rejoindre l’Atlantique pour une traversée de près de 3000 milles nautiques. Après une navigation technique en Manche, l’arrivée à Saint-Malo, ville historique de marins et d’explorateurs, ajoute une dimension légendaire à cette épreuve.
Une soixantaine de voiliers prendront le départ du 30 juin au 3 juillet 2024 pour continuer à écrire l’histoire de cette épreuve en équipage, sans escale mais riche en rebondissements ! Au fil des années, la Transat Québec-Saint-Malo a été le théâtre de nombreux moments inoubliables.
En 1996, le navigateur français Laurent Bourgnon a marqué les esprits en établissant un record de 7 jours, 20 heures et 24 minutes à bord de son trimaran, un temps qui reste une référence dans l’histoire de la course.
En 2012, la victoire de l’équipage mené par François Gabart et Michel Desjoyeaux, a été un autre moment fort. Leur domination sur la course a illustré l’évolution technologique des voiliers et la montée en puissance des jeunes navigateurs.
Les éditions récentes de la Transat Québec-Saint-Malo continuent de faire briller la voile de compétition et ses athlètes. L’épreuve de 2016 a été remportée par l’équipage de Spindrift 2, qui a réalisé un temps impressionnant de 6 jours, 1 heure et 17 minutes, établissant ainsi un nouveau record de vitesse pour la course.
La Transat Québec-Saint-Malo est bien plus qu’une simple course de voile. Célébration de l’histoire, de la culture et de la passion pour la mer, c’est un rendez-vous incontournable pour tous les passionnés de voile.
Cette année, pour la 10ᵉ édition de la course, seuls des monocoques seront en compétition. De nombreux Québécois sont attendus pour assister au départ de l’épreuve. Parmi les participants, Amélie Grassi se distingue en choisissant un équipage 100% féminin, ajoutant ainsi une touche d’innovation et de détermination à cette édition historique. Anne-Claire Le Berre, Marie Riou et l’italienne Claudia Conti navigueront sous les couleurs de La Boulangère Bio.
Nous empruntons une expression québécoise et souhaitons bon trip à nos quatre ambassadrices dans leur épopée intercontinentale !
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Vous cherchez à pratiquer une nouvelle activité inattendue pour cette rentrée ? Nous vous avons déniché des disciplines stimulantes pour prendre soin de vous !
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L’équipage 100% féminin du Class40 La Boulangère Bio mené par la skipper Amélie Grassi a franchi hier à 16h02 la ligne d’arrivée de la Transat Québec – Saint-Malo, signant ainsi une magnifique 4e place.
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Les jours se suivent et ne se ressemblent pas à bord du Class40 La Boulangère Bio. Mené par Amélie Grassi, l’équipage 100% féminin pointe aujourd’hui en 5e position de la Transat Québec – Saint-Malo.
Lundi lors d’une manœuvre, Claudia Conti, équipière de La Boulangère Bio s’est blessée. Depuis, la jeune Italienne souffre de douleurs intenses au niveau du thorax. Suite aux recommandations médicales, Amélie Grassi, skipper du bateau, a décidé, en accord avec son partenaire, d’organiser un débarquement.
Alors que l’équipage de La Boulangère Bio entame son quatrième jour de course sur la Transat Québec – Saint-Malo, la vigilance est toujours de mise.
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin
