La vie après la compétition : vu par l’équipe de France féminine de handball
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin
Accueil » Voile » Actualités » Transat Jacques Vabre Normandie Le Havre | La Boulangère Bio en chasseur dans les alizés
A bord de La Boulangère Bio, Amélie Grassi et Anne-Claire Le Berre profitent de la douceur de la navigation dans les alizés même si ça remue encore beaucoup. « Tout va bien à bord ! Ces dernières heures, nous avons du portant avec un peu plus de vent que ce que nous pensions donc c’est sympa. Le bateau va super vite, ça glisse bien. En termes de vie à bord c’est encore un peu sauvage car ça tape dans tous les sens et il faut toujours bien se tenir pour ne pas voler en avant » raconte Amélie Grassi ce matin.
Le duo progresse sous spi dans un vent de Nord Est soutenu pour 15 à 20 nœuds. En ce 9e jour de course pour cette deuxième étape, les filles de La Boulangère Bio sont 15è à 145 milles du leader. Depuis qu’elles ont réussi à remettre en fonctionnement leur système d’aérien en tête de mât, la sérénité est revenue à bord du monocoque et elles sont focus sur les réglages. Véloces sur ces dernières heures, elles flirtent ce matin avec les 17 nœuds de vitesse et savent que la capacité à tirer le meilleur de La Boulangère Bio va compter dans ce grand bord en route direct vers La Martinique. Amélie et Anne-Claire restent aussi vigilantes car cette nuit, un choc avec un OFNI est venu leur rappeler que traverser l’Atlantique en Class40 n’est pas juste une formalité. « Cette nuit, nous avons tapé quelque chose. On n’a pas vu ce que c’était. Mais ça a fait sauter le safran. Il n’y a pas de casse, juste des éclats de peinture. Nous avons prévu de recontrôler dans la journée. Nous avons juste dû changer le système de descente du safran. C’est reparti ! » précise la skipper enthousiaste et visiblement reposée.
La navigation dans les alizés est en effet l’occasion de recharger les batteries. Le sommeil est davantage récupérateur, l’alimentation plus facile et l’ambiance à bord est au beau fixe après une première partie d’étape très engagées. Amélie poursuit : « A bord, nous avons été poussées dans nos retranchements en termes de fatigue. Le niveau de la course est hyper intense et puis on a eu quelques galères techniques. On a un spi qui était passé à l’eau. On a dû le ramasser. Il est intact mais ça nous a bouffé de l’énergie. Plus les aériens…. On sentait qu’on avait du mal à étaler le repos nécessaire pour récupérer. Nous étions sur le fil rouge. Mais depuis hier soir, ça va nettement mieux. On s’est reposé, nous avons retrouvé nos esprits. On ne se sent pas cramées ».
« Le neuvième jour de course débute tranquillement à bord de La Boulangère Bio. Après une première semaine chargée en bricolages et gestion de soucis techniques à bord, dans des conditions bestiales, nous profitons des alizés. Le bateau glisse dans 15 à 20 nœuds de vent sous spi. La journée nous profitons de ces conditions exceptionnelles pour barrer, la nuit le pilote s’en charge très bien depuis que nous avons réparé l’aérien en tête de mât. Cette phase nous permet de combler la dette de sommeil accumulée les premiers jours, on retire les polaires, on mange de bonnes choses… bref on prend un peu soin de soi, c’est appréciable et nécessaire pour avoir un max d’énergie à donner dans cette course. Car elle est loin d’être terminée ladite course. La météo pour rejoindre la Martinique est un vrai casse-tête, cette édition de la Transat Jacques Vabre nous challengera jusqu’au bout. Une super bonne ambiance règne à bord et nous restons mobilisées car il va encore se passer plein de chose sur le trajet ».
1 > Xavier Macaire – Pierre Leboucher (Groupe SNEF)
2 > Ian Lipinski – Antoine Carpentier (Crédit Mutuel)
3 > Ambrogio Beccaria – Nicolas Andrieu (Alla Grande Pirelli)
4 > Alberto Bona – Pablo Santurde Del Arco (Ibsa)
5 > Achille Nebout – Gildas Mahé (Amarris)
15 > Amélie Grassi – Anne-Claire Le Berre (La Boulangère Bio)
+ 147 milles par rapport au leader
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin
Vous cherchez à pratiquer une nouvelle activité inattendue pour cette rentrée ? Nous vous avons déniché des disciplines stimulantes pour prendre soin de vous !
Vous cherchez à pratiquer une nouvelle activité inattendue pour cette rentrée ? Nous vous avons déniché des disciplines stimulantes pour prendre soin de vous !
L’équipage 100% féminin du Class40 La Boulangère Bio mené par la skipper Amélie Grassi a franchi hier à 16h02 la ligne d’arrivée de la Transat Québec – Saint-Malo, signant ainsi une magnifique 4e place.
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin
Les jours se suivent et ne se ressemblent pas à bord du Class40 La Boulangère Bio. Mené par Amélie Grassi, l’équipage 100% féminin pointe aujourd’hui en 5e position de la Transat Québec – Saint-Malo.
Lundi lors d’une manœuvre, Claudia Conti, équipière de La Boulangère Bio s’est blessée. Depuis, la jeune Italienne souffre de douleurs intenses au niveau du thorax. Suite aux recommandations médicales, Amélie Grassi, skipper du bateau, a décidé, en accord avec son partenaire, d’organiser un débarquement.
Alors que l’équipage de La Boulangère Bio entame son quatrième jour de course sur la Transat Québec – Saint-Malo, la vigilance est toujours de mise.
La Boulangère renouvelle l’opération Le Goût du Hand pour soutenir la pratique amateure du handball féminin